Bret
Easton Ellis - Glamorama
Qu'attendre d'autre qu'une ambiance qui baigne sous le feux des projecteurs, du showbiz avec un titre pareil? Pour son quatrième roman sorti en 1998, Bret Easton Ellis affirme une fois plus son style très visuel voire cinématographique et montre qu'il maitrise l'art du dialogue inutile. Arriver à remplir des pages avec autant de superficialité affichée revêt presque du génie. Le culte de l'apparence apparaît aussi avec éclat lors de ces descriptions au style quasi policier où de nombreuses marques sont citées comme une preuve de luxe ostentatoire.
Il est question d'une inauguration d'une nouvelle boîte dont le boss prépare la grande ouverture. Tout doit être parfaitement dans le coup avec classe, la liste des invités du monde des stars nous et dévoilée jusqu'à la nausée. Victor Ward fait partir de ce monde et veut en mettre plein la vue, son agenda est serré entre séances d'épilation, photos, mannequinat, aventures sexuelles, dialogues vides sans oublier des cachets d'anxiolytiques avalés pour surtout ne pas remettre quoi que ce soit en question. Tout tire en longueur pour finalement se rendre compte qu'on baigne en plein film ou plutôt une suite de séquences qui oscillent entre gore, porno, fêtes et histoire terroristes et d'espionnage. Comme si l'auteur avait voulu écrire 4 livres à la fois et finalement la sauce ne prend pas. Je me suis forcé à arriver au bout de ces 534 pages pour ne pas comprendre vraiment l'intérêt d'une telle histoire décousue? Franchement déçu. Je vais devoir m'en remettre avant de retenter un autre de Bret Easton Ellis.
Qu'attendre d'autre qu'une ambiance qui baigne sous le feux des projecteurs, du showbiz avec un titre pareil? Pour son quatrième roman sorti en 1998, Bret Easton Ellis affirme une fois plus son style très visuel voire cinématographique et montre qu'il maitrise l'art du dialogue inutile. Arriver à remplir des pages avec autant de superficialité affichée revêt presque du génie. Le culte de l'apparence apparaît aussi avec éclat lors de ces descriptions au style quasi policier où de nombreuses marques sont citées comme une preuve de luxe ostentatoire.
Il est question d'une inauguration d'une nouvelle boîte dont le boss prépare la grande ouverture. Tout doit être parfaitement dans le coup avec classe, la liste des invités du monde des stars nous et dévoilée jusqu'à la nausée. Victor Ward fait partir de ce monde et veut en mettre plein la vue, son agenda est serré entre séances d'épilation, photos, mannequinat, aventures sexuelles, dialogues vides sans oublier des cachets d'anxiolytiques avalés pour surtout ne pas remettre quoi que ce soit en question. Tout tire en longueur pour finalement se rendre compte qu'on baigne en plein film ou plutôt une suite de séquences qui oscillent entre gore, porno, fêtes et histoire terroristes et d'espionnage. Comme si l'auteur avait voulu écrire 4 livres à la fois et finalement la sauce ne prend pas. Je me suis forcé à arriver au bout de ces 534 pages pour ne pas comprendre vraiment l'intérêt d'une telle histoire décousue? Franchement déçu. Je vais devoir m'en remettre avant de retenter un autre de Bret Easton Ellis.

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